
Nakurmik
La meilleure façon pour moi de vous remercier était de le faire ici dans mon petit espace web personnel. Un peu mon salon.
C’était ma cinquième année de conception et hébergement web pour la course de chiens de traîneau Ivakkak. À chaque année, parce qu’on aime comme vous cette aventure et ceux qui la font, d’abord et avant tout le peuple, on monte le niveau web. On ajoute des idées, on remonte d’une coche les challenges Internet, on prend des décisions qu’on souhaite être les meilleures en contenu, en diffusion, en design et en efficacité.
Nakurmik Makivik, ses officiers sur le terrain et sur la ligne web à Kuujjuaq. Ce genre de projet ne peut se faire sans la confiance qui nous est accordée et sans un solide dévouement envers le transfert cohérent et rapide des données de courses. C’était encore une fois à la hauteur pour nous permettre de livrer la plateforme performante qu’on avait préparée.
Merci Joé Lemelin, chaque année de nous prêter ton talent de designer pour le visuel de la carte de la course, de la préparation des logotypes et de créer le « Wow! » qui est caractéristique. Les délais sont toujours aussi serrés et la créativité que tu présentes ne se dément jamais.
Merci Maxime Carbonneau. Un neveu programmeur, pour un oncle pas là aussi souvent qu’il le voudrait, c’est tombé du ciel au moment où il le fallait. Partager ces moments avec toi m’a permis de te découvrir et de te faire vivre une expérience de travail qui j’espère te motivera à poursuivre dans ta voie scolaire et professionnelle. Tu es à ta place. Ta rigueur, ton engagement, ta belle simplicité et ton intelligence à trouver des solutions et persister à les chercher sont les bases qui te feront réussir. On commence une bien belle collaboration.
Chaque année je reçois les courriels, commentaires, suis les statistiques. Cet événement a sa raison d’être. J’espère le jour où le sud s’y intéressera massivement.
À chaque Ivakkak, devant le défi, c’est ceci qui me revient. C’est Jane Birkin qui dit :
« Ça fait tellement peur et ça fait tellement plaisir à la fois, c’est comme ça, c’est la vie. »
Souhaitons-nous à l’an prochain! Je laisse la porte ouverte en sortant.